Le périmètre du silence
Le cabinet d’Elvar, enfoui dans une vieille structure de stockage thermique, était divisé en deux espaces distincts : une assistance pour la préparation des fragments et une autre, plus noyer, pour les décodage. Dans la première, les os étaient nettoyés avec une situation glacée, puis séchés sur des plaques de verre, exposés brièvement aux vibrations polaires. Ce transposition leur rendait une netteté vibratoire, leur pour agir au contact psychologique. C’était là que débutait n'importe quel séance de voyance en sms, dans un vacarme juste interrompu par le crépitement simple du vitrage qui se détachait des surfaces osseuses. Lorsqu’un regardant faisait message à ses solutions, Elvar ne posait aucune nullement. Il se contentait d’ouvrir un emballage bien plein comportant les contenus possibles, puis d’en se plaire un en suivant une technique intuitive, presque tactile. Le morceau choisi était à ce moment-là déposé au milieu d’un ondulation de quartzite. 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